Paris, ville de l'Amour

Quant la jeune fille ce reçu le coup, elle tomba sur ses genoux, à terre. Si le jeune homme n'aurait pas disparut elle aurait sûrement voulut lui en mettre un aussi. Mais Brooke était à terre, seule dans la chambre à pleurer de rage. Elle ne réfléchissait plus au conséquence et se releva. Elle attrapa son sac et sa veste posée sur le lit et partit de la chambre. Elle dévala les marches de l'hôtel et en sortit sous les yeux étonnés du gérant. Mais elle n'en n'avait rien à faire et voulait rentrer chez elle, au Canada...

Il se perdait, dans les sombres rues de Paris, où aucune âme ne vivait... Il enleva une plaque d'égout, et sauta dans les profondeurs de la capitale, là où personne ne le retrouverait... Il retournait dans l'obscurité la plus totale, celle où il a vécu pendant de longues années... Le retour à l'ombre.

La jeune fille marchait sous la pluie dans les rues de la Capitale Française. Ses cheveux étaient maintenant trempés, mais elle s'en fichait. Elle ne redoutait pas le froid, elle avait appris à vivre avec cette froideur. Aprsent elle voulait retourner chez elle, revoir son père, et essayer de voir son frère, si cela pouvait être possible. Elle ne l'avait pas revu depuis six ans maintenant, mais elle n'avait jamais parlé de lui à personne. Brooke tourna dans une rue plus trnaquille pour pouvoir repartir chez elle sans que personne la voit. Mais au bout de la rue se trouvait une femme qui marchait vers elle à présent. Brooke ne savait pas si elle devait attaquer ou non. Mais quant la dame en question fu assez proche d'elle, elle lui souria chaleureusement. La jeune fille écarquilla les yeux, elle savait que c'était Hécate, elle avait la même regard que Aaron, ce qui était frappant. Elle ne savait pas pourquoi elle veanait la voire, allez t'elle lui faire des reproches après ce qui venait de ce passer ?

Jeune demie-déesse, ne t'inquiète pas. Je ne suis en aucun cas venu te faire des reproches. Mais si je suis là, c'est pour te parler de mon fils. Aaron. Il ne faut pas lui en vouloir de se comporter comme cela. Il a toujours été seul, perdu. Je sais qu'il a toujours l'air froid et sec, mais si il fait cela, c'ets pour éviter de s'attacher à quelqu'un, et souffir par la suite. Mais je sais que toi, Brooke, tu pourrais briser sa carapace. Je ne te dis pas que cela sera facile, mais tu en es capable...

La jeune fille ne savait pas quoi dire après ce que la déesse venait de lui avouer, mais avant qu'elle ne put dire un mot, la déesse disparut dans une brume lumineuse. Broke releva la tête en regardnt ou elle était, car elle n'avait fait que érrer pendant plusieurs heures. Elle se mit en tête de retrouver Aaron. Mais elle n'avait aucune idée de l'endroit ou elle était et ou lui se trouvait. Elle fit quelques mêtre, avant de tomber dans une sorte de trou qui se trouvait par terre. Elle venait de tomber dans les égoûts.

Brooke sourit quant Aaron accepta finalement. Elle fit un petit :
Yes ! Et s'avança en souriant vers la rue éclairée. Elle fut bouche-bée
quant elle vu tout le monde qui se trouvait dans cette allée. Pleins de
personne allaient dans une direction différente, et sur la route, les
voitures étaient coincées dans un immense embouteillage. Mais, même si
la jeune fille n'était pas du genre à aimer les foules de gens, elle
souriait tout de même en voyant toutes les décorations. Elle ne savait
pas si c'était elle ou non, mais quelques flocons de neige commencèrent à
tomber du ciel, ce qui la fit sourire. Elle tourna sur elle même, puis
ria, elle avait l'air d'une vraie gamine retournée en enfance. Mais
chaque hiver, elle était de bonne humeur. Puis elle se retourna, ce
n'était pas le moment de se perdre, surtout avec tout ce monde.

Aaron ?

Il se rapprocha d'elle, presque contre elle, et rit, à la bonne humeur joyeuse de Brooke. Ils avaient acheté du chocolat chaud, ce qui avait ravivé ses joues, et rougit son visage.

Je... C'est fabuleux.

Brooke se mit à sourire quant-elle vu que Aaron, lui aussi, était heureux. Il souriait et riait, ce que faisait plaisir à la jeune fille. Ils avancèrent côte à côte, dans la rue. Brooke regardait toutes les vitrines et décorations. Puis elle se tourna vers Aaron en souriant.

Quant-on pense que cette fête, Noël, est une veille légendes qui vient de mon père...

J'ai lu quelque chose là-dessus...

Il lui sourit. Il n'avait jamais fêté Noël, c'était la première fois... Cet instant était plutôt magique. Dans le cirque qui l'avait recueilli, Noël n'était qu'un moment où beaucoup de spectacles étaient représentés, simplement.

Brooke souriait toujours et continuait d'avancer. Elle était contente et ne voulait pas que ce moment s'arrête, pour rien au monde. La neige commençait à tapisser le sol d'une fine couche, c'était bien l'hiver. Pourtant, elle se demandait si c'était tout a fait normal. Il ne lui semblait pas, que au moment de partir, ils étaient au mois de Décembre. A moins que le temps passe extrêmement vite, cela n'était pas normal. Mais la jeune fille ne voulait pas se prendre la tête pour cela. Elle se tourna vers Aaron en souriant.

On fêtera sûrement Noël ensemble cette année, je te prendrais quelques chose...

...

Un cadeau ? Il avait toujours détesté ça... Même si, au cirque, ils s'offraient des cadeaux, à la fin d'importantes représentations, il n'avait vraiment jamais aimé les surprises...

On était parti en Novembre, non ?

Il vit les flocons descendre du ciel... Anormale.

Releva la tête. La neige tombait de plus en plus, et la jeune fille savait à présent que ce n'était pas elle qui faisait cet effet au climat. Même certain mortel avait l'air de ne pas trop comprendre ce qui se passait. Certain mettaient ça sur le dos du réchauffement climatique, mais les demi-dieux savaient toujours qu'une cause divine en était la vrai cause. La jeune fille continua d'avancer, le vent commençait à souffler assez fort. Et quelques ombres se dessinaient parmi la foule de personne qui se trouvait dans la rue.

Je ne le sens pas, mais vraiment pas là...

Il souriait, c'était la plus belle journée de sa vie. Tout était génial. Même si la neige n'était pas normale, il ne s'en souciait pas... Mais, soudain, quelque chose se glissa rapidement à lui, et il tomba à genoux, plaquant sa main contre son poitrail. Du sang coulait... Il venait de recevoir un coup de poignard. Sa tête tournait... et il s'évanouit.

Brooke continuait d'avancer dans la rue, comme si de rien n'était. Elle avait déjà porté sa main à son poignard, au cas où l'une des ombres viendrait essayer de la tuer. C'est à ce moment là que l'une d'elles s'avança à une vitesse folle vers elle, mais au lieu de s'attaquer à elle, elle se dirigea vers Aaron, qui lui, naviguait dans ses pensées. Tout se passa à une vitesse folle. L'ombres porta un coup de poignard au jeune homme et celui-ci tomba à terre. La jeune fille se mit à crier et sauta sur l'ombre. Elle le poignarda avec rage ett sans rencune. Affolée, elle prit Aaron qui était sol et s'avança dans une rue plus sombre. Elle savait qu'il y avait d'autres ombre, mais elle voulait avant tout protéger Aaron. Elle le fit s'asseoir contre le mur, et sortitde son sac de l'ambroisie et du nectar. Elle prit aussi une compresse, elle avait vu qu'il saignait au niveau de la poitrine, mais pas au niveau du coeur, heureusement. Elle lui fit donc boire du nectar, et garda l'ambroisie dans ses mains, attendant qu'il se réveil pour lui donner.

Ne me laisse pas tomber, je t'en supplie Aaron...

La jeune fille c'était laissé tomber contre le mur et c'était assise à côté d'Aaron. Elle posa sa tête sur l'épaule du jeune homme et se mit à pleurer. Elle s'en voulait, c'était elle l'entière responsable de l'état d'Aaron. Elle qui avait insistée pour qu'ils se rendent dans cette rue. Et maintenant, à cause d'elle, il c'était fait poignarder.

Ses yeux se rouvrirent...

Je savais bien qu'il ne fallait pas y aller...

Il lui sourit, et se releva avec peine, refusant son ambroisie. Il plaqua sa main contre son torse, là où le poignard l'avait blessé, et appuya, en serrant les dents. Il marchait lentement, s'adossant parfois aux murs.

On doit... vite partir.

Brooke vut Aaron se relever, même si il avait mal, il ne voulait pas d'ambroisie. La jeune fille s'inquiètait de son état. Elle se releva elle aussi puis se tourna vers le bout de la rue. On pouvait encore entendre les nombreuses personnes qui passaient, et les voitures, toujours coincées par les bouchons. Brokke tourna la tête vers Aaron.

On passe par où ? On devrait rentrer à l'hotel, tu as besoins de te reposer...

Il secoua négativement la tête, et partit vers le Centre de Paris...

On doit trouver une divinité, non ?

La jeune fille hocha la tête à contre-coeur. Aaron n'avait déjà pas l'air en forme, après la blessure que l'on venait de lui affliger, mais maintenant, il voulait partir rechercher la divinitée qui les avait fait arriver jusqu'ici. Elle marcha jusqu'à lui et lui tendis deux petits carré d'ambroisie. Elle le regarda, droit dans les yeux.

Prend cette ambroisie avant. Ça ne sert à rien sinon que tu viennes te battre alors que tu n'es déjà pas en état.

Tu as raison...

Il prit l'ambroisie, et l'avala, avec une légère grimace.

Allons-y, alors...

Brooke souria en coins en le voyant reprendre des forces, puis elle le suivit. Elle ne savait pas vraiment où ils devaient se rendre mais elle faisait confiance au jeune homme. Plus ils marchaient, plus ils se rapprochaient du centre de la ville. Le jeune homme avait l'air de vouloir se rendre à la Tour Eiffel, et quand il furent à son niveau, la jeune fille leva son regarde vers le sommet, puis tourna son regard vers Aaron.

Tu crois que la divinitée que l'on recherche est en haut ?

Il vit un monstre (un chien des Enfers ?) tomber jusqu'à s'écraser au sol...

Je crois que oui.

Brooke recula de quelques pas en voyant le chien des enfers s'écrasait juste a quelque mêtre d'eux. On peut dire que ça commençait plutôt bien. Elle sortit son poignard.

Je m'occupe de lui et tu montes, on fait comme ça ?

La bête ne bougeait plus, les pattes, raides, vers le ciel...

Je crois qu'elle est KO... Montons directement.

Plantant un poignard, qui venait d'apparaitre de nul part, dans l'animal, il débuta son ascension d'une centaine de marches...

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