Paris, ville de l'Amour

Et bien, tu dois te tromper... Je n'aurais pas dû naitre.

La lune lui paraissait étrange... Puis, en pensant à la Lune, il remarqua qu'Hécate ne guidait plus ses pas... Depuis Athènes.

Brooke soupira et mit sa tête entre ses jambes. Elle pensait que à chaque fois qu'elle faisait un pas, Aaron se refermait.

Arrête de raconter n'importe quoi. Et moi ? Tu crois que j'ai bien fait de naître ?

Tu es belle, jeune, et forte. Tu ne peines pas à te faire des amis, et tu te défends plutôt bien. Donc, oui...

Il regarda à l'opposé de Brooke, de peur de rougir.

Arrête de mentir, tu te fais du mal.

Regarde toujours Aaron.

Il se leva, et passa par la fenêtre. Non, il n'a pas "sauté". Les toits de Paris sont bien bas. Il s'assit, et regarda la Lune...

Brooke s'approcha de la fenêtre et regarda Aaron qui était partit s'asseoir plus loins sur le toit de l'hôtel. Etait-elle si effrayante pour que le jeune homme parte à chaque fois qu'ils avait une conversation ensemble ? Elle se rendit compte que Aaron était la seule personne qui la faisait se douter d'elle. [ Je sais pas si ça veut bien dire ce que je veux xD ] Elle essaya de trouver une idée pour faire revenir le jeune homme dans la chambre, puis elle trouva.

Tu devrais rentrer, il commence à faire froid dehors.

Effectivement, quant-elle eu prononcée ses paroles. L'air se fit plus froide, et quelques floncons commençaient à descendre du ciel...

Je n'ai pas froid.

Aaron, rentre.

Pour quoi faire ?

Tu vas attraper froid.

Rentres.

Commence à s'énnerver. Le givre commence à recouvir le toit de l'hôtel. Décide de sortir sur le toit par la fenêtre. S'approche de Aaron.

M'oblige pas à te forcer de rentrer par la force.

Ses yeux se remplirent de rouges. Il se leva, violemment.

Est-ce une menace ?

Serre le poing.

Oui c'est une menace. Et qu'est ce que tu compte me faire ?

Ce n'était pas dans ses principes de taper des femmes... Même si Brooke n'était pas fragile, il n'a "pas le droit".

Ok, je rentre...

Il rentra lentement, le temps de perdre la couleur étrange de ses yeux... Il s'adossa au mur, légèrement vexé, voir en état de soumission qui lui déplaisait...

Bonne décision.

Marche à sa suite, puis rentre dans la chambre. S'asseois sur le bord de la fenêtre.

Alors, tu as finis ta petite crise ? J'ai pas envie de te voir comme ça pendant toute la quête.

Je ne préfère pas répondre.

Il commence à faire froid dans la pièce.

Ah oui ? Et pourquoi ?

Il se releva, ayant remarqué la froideur de la pièce. Ses yeux revinrent rapidement rouges, et, avec sa force mentale, il fit voler une chaise à travers la chambre.

Tu as vraiment envie de savoir ? Je ne crois pas ! Alors, abandonne.

Se lève à son tour et vient lui faire face.

Tu crois que c'est en faisant voler une chaise dans la pièce que tu vas me faire peur ? C'est pas ta petite magie qui m'impressione Baudelaire !

Qu'espérait-elle ? Un combat ? Et bien, elle l'aurait.

Venons-en au main, alors. Horan.

Lui attrapant les poignets, il l'a plaqua contre le mur...

Brooke se débattit et donna un coup de genou dans le ventre. Et quand celui-ci lâcha ses poignets elle lui mit une giffle tellement forte, que la marque de sa main se voyait sur la joue d'Aaron.

Vas-y frappe moi. J'attend que ça.

La gifle fut violente. Sa joue brûlée. Il avait envie d'en découdre... mais, ils devaient faire équipe, c'était stupide de se battre. Néanmoins, elle méritait une bonne leçon. D'un coup de poing bien lancé, il mit à genoux la téméraire Brooke...

Désolé...

Sur ce mot, il disparut, peut-être quelque part dans Paris, à errer...

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